le calendrier des partiels. non je n'ai pas pleuré. ou presque.

c'est vrai que j'aurais jamais pensé qu'il reviendrai un jour. ou tout simplement que j'accepterai qu'il revienne pourtant c'est les bras ouverts que je l'accueille, avec la fougue et l'envie d'aider. ça se comprends pas, je ne cherche pas de réponses, je vais jusqu'à renier les questions.

demain il faudra ouvrir le calendrier de l'avent. surement sans nouvelle du soldat, passé à tabac, hier encore une fois. pour la dernière fois? je sais toujours pas, non. ça dépends des jours, c'est pas trés clair, alors je me plais à renier les questions, une fois de plus.

j'voudrais un sapin de noel, à coté de la cheminée, maman sur le canapé, papa à la cuisine, elle et lui se chamaillant là haut, dans la mezzanine. mon enfance est partie sans même que je n'ai le temps d'en garder de souvenirs.

douce nuit.

tanpis...

je suis en train d'échouer parce que j'en ai décidé. on dit que c'est mieux d'avoir fait le choix, ou pas. faire face à sa propre bêtise c'est pas forcément mieux.

ce blog ne ressemble plus à rien. il n'a jamais été très clair de toutes façons. c'est pas comme si tout pouvait l'être.

pour la thérapie, j'ai jamais été aussi perdu que ces temps ci. j'ai l'impression de vivre dans un monde en carton, où tout n'est que plastique et illusion. cet appart me rends malade, j'ai plus envie d'y mettre les pieds, j'ai envie de nouveau et de confortable. mes amitiés ne ressemblent à rien, encore une fois elles ne sont qu'à sens unique et j'crois que même si c'est c'en est la définition j'pourrais jamais m'y faire. je me suis montée un château fort impénétrable dans la tête, tous les jours c'est une brique qui s'éclate par terre, parce que tout ça c'est faux, c'est ce que j'veux, ce que j'aurais voulu que ce soit mais c'est pas réel. demandez moi d'écrire droit j'écrirais de travers.

ce n'est vraiment pas une bonne expérience, parfois il faut avouer qu'on s'en passerai bien, même à défaut d'avoir ne serait-ce que quelque chose. j'en sais rien, c'est peut être moi qui tape une phase parce que rien de marche ou plutot tout fait semblant de marcher. les faux semblants. certainement ce que j'supporte le moins.

à ce qu'on dit il vaut mieux avoir des remords que des regrets. j'trouve pas le choix à faire.

je ne trouve rien de toutes façons, pas besoin de plus de précisions.